Second tour

Armure bourmonesque Nombre de messages : 3557 Date d'inscription : 08/06/2009

De retour dans la terre, il s'avança pour se faire voir des deux participants avant de leur faire signe. Demande s'ils sont prets, une fois fait, il se recula puis abaissa le drapeau. Le départ était donné, place aux acteurs.

Citation :: Della contre Hersent

Les deux jouteurs sont en place, s'avancent et font signe qu'ils sont prêts. Kelso abaisse donc le drapeau de départ, les chevaux sont lancés à vive allure.

La Dame arrive en première sur son adversaire et la touche de plein fouet, la Duchesse, reste en selle, tangue sans tenter de contrer la dame, ca serait foie. La chute est évitée.

Demi tour et c'est repartit sans pause, cette fois ci, Della semble remontée et donne un coup à son cheval pour le faire accélérer, la lance se baisse et ... un coup, fatal pour la pauvre Hersent qui voit sa lance éclatée et finit par se retrouver les quatres fers en l'air dans la terre, son cheval continuant sa route tout seul.

Della de la Mirandole d'Amahir Euphor est déclarée vainqueur !

Citation :: Leonin contre Belgarion

Seigneur contre Vicomte, tous deux s'avancent, heaume baissé et c'est partit.

Le Vicomte chevauche la ligne droite avec facilité alors que le Seigneur ne semble pas maitrisé tout à fait la monture prêtée. Aussi, la première touche se fait tout en douceur pour le Vicomte qui voit sa lance effleurer mais qui touche bien le Seigneur.

Second tour, et c'est repartit. Toujours en finesse, c'est le Vicomte qui semble avantagé. Abaissant sa lance bien trop tôt, Belagarion se déséquilibre seul et une simple touche de Leonin le fait basculer lentement sur le côté pour finalement choir sur le sol.

Leonin de Monmouth est déclaré vainqueur !

Visiteur Nombre de messages : 6 Date d'inscription : 04/05/2012

[Equipe des Aigles]

[Seuls les administrateurs ont le droit de voir ce lien]
L'on pourrait ajouter à la liste déjà longue des victimes de la cape...Hersent d'Ar Sparfel, Dame de Maizières et de Vignory, mai 1460.

Pourtant, l'affaire avait pris la faveur de la capée.
Della, distraite d'ailleurs par la beauté de la pièce de tissu, avait bien failli y laisser son tour ! Saleté de cape ! Un regard admiratif sur elle - Della aime les tissus, les robes, les vestures de toutes sortes, c'est une femme - rien qu'un instant et pouf ! Hersent en avait profité pour faire vaciller la Duchesse.
Ah mais ça ne se passerait pas comme ça !
Rétablie sur Ouragan, Della lui fit faire demi-tour, lui promettant une tonne de carottes s'il ne ratait pas son virage, et furieuse contre elle-même de l'instant de distraction, elle fonça, lance en avant et tête baissée sur la cape !
Et ce fut le succès.
Ni plus. Ni moins.
Hersent valdingua, sans doute toute emmêlée dans sa belle cape.
Et Della parada.
Hé oui, elle est très fière, la Duchesse, quand elle gagne.

Fair-play quand même, elle dirigea son cheval vers la Dame et heaume relevé, elle s'adressa à elle, très gentiment.

Dame, merci pour cette passe.
Pas de bobo ?
Votre cape est vraiment magnifique.
Rhooo...faudra aller se confesser !

[équipe des Otaries]

Spoiler:

Le deuxième tour commençait et Hersent se retrouvait confrontée à Sa Grasce Della, grande amatrice de tissus, de haute couture et de mode...comme elle finalement.

Son écuyère l'avait aidée à revêtir son armure, sa cape richement ouvragée flottait au vent printanier, elle était prête à affronter son adversaire. Elle grimpa, toujours aidée de Wendoline, sur son Korrigan qui devenait plus habitué à l'ambiance des joutes.

Elle se met en place, se penche comme d'habitude vers l'oreille de Korrigan pour leur rituel d'avant duel, puis elle se concentre, sa lance bien en main. Heaume baissé, assiette impeccable sur la selle, respiration sereine malgré une légère appréhension. Elle fait signe aux deux Grasces qu'elle est prête. Kelso baisse le drapeau et elle talonne immédiatement Korrigan pour le lancer à fond de train vers la duchesse et ohhhhhh incroyable, elle réussit à toucher son écusson mais pas à la faire choir. La duchesse vacille, sans doute déconcentrée par quelque chose...sa belle cape flottant au vent peut-être?

Elles parviennent chacune de leur côté au bout de leur lice puis amorcent un demi-tour immédiat. Hersent, un peu trop sereine pour le coup, ravie d'avoir fait trembler la duchesse, est un peu moins centrée sur le deuxième assaut. Elle s'aperçoit, trop tard, que la duchesse est remontée à bloc et ne voit pas à temps la lance de cette dernière se baisser....et vlan, c'est le choc, le terrible choc qui fait tinter et sonner dans la boîte de conserve qu'est l'armure, aussi belle et seyante soit-elle. Hersent ne peut parer le coup et se retrouve à voler dans les airs avant de choir, lamentablement, sur le sable de la lice, regardant dépitée Korrigan continuer sa course folle.

Elle se relève malgré tout, gesticule pour appeler Wendy qui lui ôte heaume et gantelets. Elle respire mieux et malgré la défaite est tout sourire: sa cape, sa magnifique cape brodée et ajourée par les doigts de fée de Klouska, est intacte, juste un peu poussiéreuse mais la poussière ça s'enlève! En son fors intérieur, elle se dit que lors des prochaines joutes, elle prenda soin de demander à Wendoline d'ôter sa cape avant qu'elle ne s'élance vers son adversaire.

Un léger galop se fait entendre: la duchesse arrive, rayonnante d'avoir gagné , à sa place elle aurait été aussi fière mais pour l'heure c'était elle qui avait goûté au sable.

Dame, merci pour cette passe.
Pas de bobo ?
Votre cape est vraiment magnifique.

Elle salua la duchesse:

De rien, Vostre Grasce, tout le plaisir fut pour moi, j'apprends chaque jour un peu plus les arcanes des joutes..un jour je passerai le deuxième tour petit sourire amusé avec ou sans cape au vent. Vous trouvez aussi qu'elle est magnifique!!! C'est Dame Klouska, jeune créatrice aux DO, formée par la diva Charinha qui, je me suis laissée dire, serait votre couturière personnelle, qui a réalisé mon armure de joute agrémentée de cette splendide cape que j'aime, sans doute un peu trop, arborer. Elle se tut quelques secondes avant de reprendre au fait, lorsque vous verrez Clarinha, pourriez-vous lui transmettre mes salutations admiratives...j'ai adoré les robes qu'elle m'a faites, j'aime les porter et porter haut son talent. Son départ a laissé un vide mais elle a formé avant de partir de futures grandes dames des aiguilles...dont Klouska justement.

Je vous souhaite une bonne continuation dans le tournoi. Je me retire de ce pas récupérer mon cheval qui est parti je ne sais où puis j'irai me rafraîchir et me changer...aujourd'hui je ne porte que des vêtements griffés DO!

Elle sourit à la duchesse puis en compagnie de Wendoline partit à la recherche de son Korrigan qui à tous les coups devait être tranquillement rentré à l'écurie.

Et Klouska, parfois discrete, parfois au milieu des chemins, decida d'encourager son equipe de la meilleure façon qu'il soit.
Debout sur l'un des bancs, brandissant drapeau bleu brodé, de ses petites mains, d'un Aigle ravageur, faisait virevolter l'étoffe fixée à un manche à balais -faute de mieux!- tout en s'écriant :

Allez les bleus !!! Allez les bleus !! ALLEZZZZZZZZZZZZ !!!!!!!

pour l'élégance on repassera.... mais au moins sa technique était des plus efficace puisque le premier round fut gagné par son équipe.
Heureuse .. mais inquiete pour son amie Hersent apres l'avoir vu faire ses voltiges dans les airs et se retrouver seant à terre...

Armure bourmonesque Nombre de messages : 3557 Date d'inscription : 08/06/2009

Citation :: Gael contre Keridil

Les deux jouteurs sont en place, s'avancent et font signe qu'ils sont prêts. Kelso abaisse donc le drapeau de départ, les chevaux sont lancés à vive allure.

Le jeune Valrose, valheureux petit combattant, semble tout plein de bonne volonté. Aussi, il en oublia de baisser son heaume et lança son cheval à vive allure contre le Duc, qui lui, prit la peine de bien s'équiper avant l'affrontement.

Un ... deux, lance tendue de la part de Keridil, le jeune Valrose ... mon dieu tente de rabaisser son heaume et de l'autre main, tend sa lance qui bascule et tombe au sol avant même d'avoir touché le Duc.

Keridil, dans l'élan ne peut louper le jeune homme et l'envoit valser d'une seule touche à quelques mètres du cheval.

Keridil d'Amahir Euphor est déclaré vainqueur !

Citation :: Bourguignon contre Lexhor

Les deux jouteurs sont en place, s'avancent et font signe qu'ils sont prêts. Kelso abaisse donc le drapeau de départ, les chevaux sont lancés au ralentit, que se passe t'il entre les deux Ducs ?

Les chevaux se croisent, les jouteurs se regardent, les lances sont levées mais rien ne se passe. Etrange partie !

Demi tour des deux chevaux, Bourguignon arrive le premier, abaisse sa lance, touche Lexhor qui riposte aussitot jusqu'à en briser sa propre lance. Une touche pour le pair et c'est repartit après le changement de lance.

Cette fois ci, c'est Lexhor qui prend de l'avance, mais son cheval dérive légérement, et c'est Bourguignon qui touche en plein pointraille le pair de france qui reste bien assit sur sa monture. Une touche de chaque côté.

Troisième fois, les deux chevaux partent à vive allure, la tension au maximum et ... boum ... un pair de france avec les autres fers en l'air !

Bourguignon de Sorel est déclaré vainqueur !

Visiteur Nombre de messages : 17 Date d'inscription : 03/05/2012

Ours maladroit équipe rouge

Et voilà Gaël arnaché et perché pas comme sa mère sur une barrique mais sur une bourrique, oh non sur son magnifique cheval blanc tel un prince presque charmant.
Nerveux d'affronter Keridil, son esprit occupé par sa nouvelle rencontre, il était donc comme d'habitude dirons nous "tête en l'air", mais surtout pressé de montrer sa force à Suzette, enfin sa force pas si légendaire que çà ...

Le signal, son cheval part à vive allure puis il s'écrit.

Nom d'une grenouille !!!! Quelle andouille !!!!!!

Son heaume n'est pas baissé, il lâche alors les rennes de sa monture, d'une main la lance, de l'autre il tente d'abaisser pour réparer son oubli. Mais quelle idée !!!!
C'était sur le pire arriva, la lance tomba au sol, suivit de Gaël qui fit un numéro de voltige équestre non prévu.
Le gros maladroit se relève pestant de rage, jette son heaume au sol, il vient d'être ridiculisé devant la belle en rouge. Il va passer pour quoi ?
un mot au duc malgré tout

félicitations votre grâce

Il quitte la lice rouge de colère, son amour propre venait d'en prendre un coup. Se calmer avant d'aller les rejoindre, il venait de perdre des points surement auprès de Suzette.

Tout en hurlant, Suzette suivait les exploits de Gaël.
Elle trouva sa technique un peu étrange mais, n'y connaissant rien en stratégie, pensa qu'il s'agissait d'un leurre pour tromper l'adversaire.
Sauf que le pauvre Orléanais s'en alla regarder le sol de plus près.
L'auvergnate fut un court instant inquiète mais très vite rassurée de voir l'Ours déchu se relever.
Pire encore, il semblait avoir plus mauvais caractère qu'elle puisqu'il jeta son heaume au sol, pestant de toutes ses forces.
Cette scène fit rire l'auvergnate.
Ainsi, elle se sentirait moins ridicule d'avoir perdu son duel.
Il fila et ne rejoignit pas de suite les tribunes : lui aussi s'en était peut être allé prendre un bain...

Armure bourmonesque Nombre de messages : 3557 Date d'inscription : 08/06/2009

Le match entre Gael et Keridil lui pinça le coeur. Le jeune homme était plein de fougue, plein de bonne volonté et surtout, semblait vouloir plaire à Suzette, ca Suzette à lui, bientot sa vassale. Enfin, il avait simplement supris quelques regards entre les deux jeunes. Le match finit, le jeune Valrose termina dans les terres Champenoises. Tout le monde detestait perdre mais il fallait accepter ou simplement ne pas jouer. Une fois le Duc remerciait à le perdant, Kelso lacha son poste d'arbitre un instant pour rattraper Gael à la sortie de la lice, par le bras.

Le heaume ramasse plus tôt, Kels lui remit assez violement dans les bras et le toisa du regard.

On ne peut pas toujours gagner tu sais. La défaite fait partie du jeu. Accepte avec un peu de fierté voyons. D'autre ont mangé la terre avant toi dans ces joutes. Prend donc ton heaume et prend soin de ton cheval maintenant. Je suis certain qu'aux prochaines joutes, tu n'oublieras plus jamais de baisser ton heaume.

Un regard vers les tribunes puis vers Gael avant de lui chuchoter :

Suzette se fiche éperduement que tu es gagné ou pas. Retourne dans les tribunes la tête haute, ca suffira pour la rendre heureuse.

Il n'était personne pour lui faire la moral, il se sentait comme une affection particulière pour lui. Il finit par lui lacher le bras avant de rajouter une chose.

Montre lui que tu es un homme et pas un gamin capricieux bon sang.

Visiteur Nombre de messages : 17 Date d'inscription : 03/05/2012

Gaël regardait droit devant quand il fut arrêté, on le retenait par le bras, il voulu se degager en vain, mais son heaume lui atteri violemment dans les bras.
Il se retrouva face au duc

Citation :: On ne peut pas toujours gagner tu sais. La défaite fait partie du jeu. Accepte avec un peu de fierté voyons. D'autre ont mangé la terre avant toi dans ces joutes. Prend donc ton heaume et prend soin de ton cheval maintenant. Je suis certain qu'aux prochaines joutes, tu n'oublieras plus jamais de baisser ton heaume.

Il le regarda dans les yeux et eu envie de lui lancer, vous nêtes pas mon père, pour me parler ainsi, mais il se retint.
Car quelque part, il avait raison.
Il suivit le regard de kelso dans les tribunes, sa mère, Suzette, oui pour elle son attitude n'était pas correct.
Le duc lui confia plus doucement que Suzette s'en fichait, ce qui rassura Gaël, mais il avait encore le coeur serré.
Prendre sur lui il le devait, un mauvais perdant voilà ce qu'il avait été

Citation :: Montre lui que tu es un homme et pas un gamin capricieux bon sang.

Le regard de Gaêl s'adoucit, une leçon de moral peut parfois faire du bien.
Il voyait en Kelso, les recommandations d'un père, un sermont pour qu'il ne perde pas la face, il n'avait pas connu çà, à l'inverse de ses soeurs GAël n'avait pas été proche de son père, et les conseils d'un père lui avait manqué. Et comme un enfant malgré ses 16 ans, il regarda le sol, puis le duc et lui répondit

Je ne suis pas un gamin capricieux, perdre je l'accepte, mais je ne voulais pas devant elle. Vous n'aimeriez pas être pris en faiblesse devant ma mère que vous allez surement épouser. Je prends donc vos conseils comme ceux de me mon père et je ferai attention la prochaine fois.
Merci pè.. euh votre grâce.

Un regard à Kelso, çà décision était prise il irait la rejoindre dans les tribunes

Alors que Gaël, fulminant de rage, quittait le terrain de joute, voilà que Kelso le rattrapait pour lui coller assez brusquement son heaume dans les mains et lui parler vigoureusement.
Malheureusement, trop loin des deux hommes, Suzette ne pouvait rien entendre mais le faciès de Kelso traduisait un échange viril.

Mais que faisait-il ??!! Le cerbère ! Suzette pria Aristote pour qu'on ne soit pas entrain de déclencher d'incident diplomatique.

Elle savait Kelso très exigeant avec ses fréquentations: elle n'avait pas le droit de regarder les gueux, pas trop le droit de les cotoyer et régulièrement, il trouvait le moyen de contrôler ses fréquentations.
Son poste de maire l'emmenait bien souvent à rencontrer ses conseillers ou des marchands ambulants. Le duc n'était jamais loin et comme par enchantement, à l'heure de ses rendez vous d'affaire, il n'était pas rare de le voir débouler, sourcils froncés, oreilles en alerte et regard très dissuasif envers la gente masculine qui gravitait autour de l'auvergnate.
Au début, la jeune femme devenait verte de rage mais à force, elle s'était habituée. Surtout, sa vie amoureuse était si platonique, qu'à force, même Kelso devait s'ennuyer.

Mais avec ces joutes, elle avait passé du temps avec Gaël, jeune homme charmant, bien élevé et de bonne famille. Rien de répréhensible dans le fond.
Et voilà que sur le terrain, Kelso semblait sermonner le fils de sa fiancée.

Quelque peu inquiète, Suzette trépignait d'impatience : mais que pouvait-il donc bien avoir à lui raconter avec cet air aussi déterminé.
Incorrigible Kelso... cette méthode la rendrait vieille fille, à n'en pas douter.
Elle lâcha un long soupire d'agacement et attendit le retour de Gaël pour en savoir plus.

Armure bourmonesque Nombre de messages : 3557 Date d'inscription : 08/06/2009

Les joutes touchaient à leur fin, la lice se vidait lentement alors que Kelso ressentait un petit truc au coeur, comme un pincement d'impatience. La journée avait été agréable même s'il n'avait pas passé trop de temps avec sa promise. C'était censé être une journée pour que les deux "familles" fassent connaissance et non sans raison évidement. Il quitta l'arrière lice en déposant le petit drapeau, tapota un peu sur ces vêtements, histoire d'être présentable devant les Suzerains de sa belle. A défaut d'en avoir un ... elle en avait bien trois si ces souvenirs ne lui jouaient pas des tours.

Déja qu'avec un, certain ne s'en sortait pas, mais là, la Baronne faisait fort avec trois. Il la rejoignit rapidement et l'entraina devant les dicts Suzerains avec assurance avant de lui donner une petite bise sur la joue. Une fois planté devant eux, il lui lacha la main en souriant et commença :

J'espère que la journée vous a été agréable. Nos deux familles si je puis dire semble avoir passer un bon moment, en tout cas, ce qui sont de mon côtés semble ravis d'avoir fait la connaissance de tout ce monde.

Petit racclement de gorge puis il recula chercher la main de sa belle.

Aussi, cette journée n'a fait que confirmer ce que je ressens depuis le début de ma rencontre avec votre vassale. C'est pourquoi je désire faire ma demande dans els règles de l'art et vous demander sa main.

Visiteur Nombre de messages : 4 Date d'inscription : 01/05/2012

Ours ronchon, encore et toujours.

Le premier tour s'était plutôt pas trop mal passé pour le blondinet mis à part un bon mal au postérieur et cette impression d'être toujours autant enfermé dans sa boîte de conserve. Mais tout allait pour le mieux, ou presque.

Le second tour était arrivé et déjà on annonçait les noms. Cette fois-ci c'était contre un homme qu'il allait combattre et tout joyeux il s'installa aussi bien qu'il le pût sur sa fière monture et déjà il s'avançait, bouclier d'un côté, lance bien en main de l'autre, prêt à jouter férocement, enfin, presque … Le heaume relevé, regardant et dévisageant son adversaire du moment, il crie à nouveau, assez fort pour être aussi bien entendu par Flo qui devait être quelque part dans un coin, que par les spectateurs que par celui qui se trouvait en face de lui.

Messire !
Bonne chance et que le moins mauvais gagne !

Rabaissant son heaume, il se prépara et lorsque le signal du départ fut donné, il s'élança. Sa monture bien en main il la fit galoper bien droit, sa lance relevée. Toujours très concentré sur chacun de ses mouvements, à épier son adversaire qui s'approchait de plus en plus, il abaissa sa lance au bon moment et visa tant bien que mal. En effet, sans que Léonin ne sache bien pourquoi, il ne put toucher l'endroit prévu et il ne fit qu'effleurer le Seigneur. Pourtant, la touche est validée. Un premier point pour le Vicomte.

Arrivé en bout de lice, il fait se retourner son cheval et, contrairement au premier tour, il avait eu le temps de se remettre en place et bien se préparer. A nouveau, c'est le départ et cette fois-ci aussi il partit à toute vitesse. La lance relevée, se concentrant toujours autant pour ne rien louper et toujours très précis à dans ses mouvements. Au dernier moment, comme la première fois, il abaissa sa lance pour viser Belgarion. Mais, il remarqua que son adversaire n'était pas bien installé et semblait être déséquilibré. Léonin ne sut pas trop pourquoi, sa lance n'avait pas encore touché. Mais toutefois, il visa tant bien que mal et celle-ci effleura à nouveau l'adversaire. Croisant le Seigneur qui n'était pas encore tombé et sachant que la touche qu'il avait faite était loin d'être suffisante pour le donner vainqueur, il grommelait entre ses dents à devoir faire une passe de plus.

Et c'est ainsi, que se retrouvant en bout de lice, arrêtant son cheval pour faire demi-tour, il vit son adversaire par terre. Il en fut surpris, ayant bien compris que ses touches n'avaient pas pu faire ça. Il se demanda même si celui-ci n'avait eu quelque malaise ou autre chose. Mais il était vainqueur.
Descendant de sa monture comme il le put, il s'approcha pour savoir comment allait le Seigneur.

Comment allez-vous ? Tout va bien ?

[HRP : désolé pour le retard ... Embarassed

]

Elle le vit poser son drapeau et venir la chercher.
Quand il lui prit la main pour l'entraîner, elle le regarda et se laissa guider.
Planté devant Lex et Flory, devant toute la famille, il lui lacha la main, un sourire qu'elle lui rendit, un regard échangé et il prit la parôle.

Tous avaient passé une excellente journée, et elle était heureuse d'avoir rencontré la famille de son tendre.
Il lui prend la main, et le voilà qu'il se lance dans une demande en mariage à ses suzerains.

Aux parole de Kels, Val est submergée par l'émotion, un petite larme perle au coin de l'oeil.
Elle lui sert la main.
Un baiser sur sa joue vient la rassurer et elle lui murmure

j'espère que tu ne prends pas que ma mains mais que tu prends tout car c'est un lot complet

Un sourire, puis elle se rapproche de lui, en attendant les réponses

Fidèle destrier Nombre de messages : 6 Date d'inscription : 11/05/2012

Elle avait plus ou moins raté une partie des joutes... Disons surtout le premier tour et de cela elle s'en voulait terriblement. En plus, elle n'avait pas été voir Erunlan afin de ne pas le déranger dans son travail auprès de son Duc. En fait et comme à l'accoutumée, Léana était restée en retrait, observant chaque duel avec nostalgie surtout deux... En secouant la tête pour se remettre dans l'ambiance de la journée, la jeune femme chercha sa mère des yeux et l'aperçut un peu plus loin tandis que les jouteurs s'éloignait vers leur campement. Elle se dirigeait vers elle quant elle vit l'homme à ses côtés : il lui tenait la main et elle en semblait ravie... Léana sourit doucement. Un petit pincement au coeur lui vint quand même mais après tout le cours de la vie était fait ainsi et elle avait l'air vraiment heureuse... Cela n'était pas arrivé depuis longtemps...

Vérifiant sa tenue, (enfin façon de parler, Léana étant souvent en tenue masculine), elle s'approcha du couple et des ses frères présents aussi. Mais elle eu un moment d'hésitation arrivant devant les suzerains de sa mère... Lexhor... Elle attend que le prétendant de sa mère ai terminé sa phrase avant de saluer :

Bonjour maman, les garçons..., elle les embrasse tous avec un sourire, pardonnez mon retard. Se tournant vers l'homme près de Valéria, elle s'incline rapidement : Votre Grasce... Une petite inclinaison devant les suzerains de sa mère et elle se place derrière elle et ses frères. Son regard fixe un instant Lexhor, attendant les premières réponses à la demande du fameux Duc de Rosnay. Pour sa part, sa décision est déjà prise.

Val déjà émue, fut ravie de voir arriver sa Leana, sa grande, comme elle lui avait manqué.
Elle lacha la main de Kelso, pour prendre sa fille dans ses bras

Comme je suis heureuse de te voir, tu es magnifique

elle embrasse leana, puis reprend la main de son aimé

Mon coeur, je te présente ma grande fille Leana. Leana je te présente l'homme qui fait battre mon coeur, Kelso Declervaux

Elle sera fort la main de Kels, lui sourit, les larmes montant un peu plus par l'émotion

pardonne moi, mais je suis si heureuse.

Fidèle destrier Nombre de messages : 6 Date d'inscription : 11/05/2012

Une accolade chaleureuse entre une mère et sa fille. Léana sentait le bonheur et l'émotion de cette femme qui avait perdu beaucoup.

Tu m'as manqué aussi, en fait vous m'avez tous manqué je crois...

Mon coeur, je te présente ma grande fille Leana. Leana je te présente l'homme qui fait battre mon coeur, Kelso Declervaux

Ainsi c'était bien lui le fameux Kelso dont on lui avait parlé. Celui qui avait rendu le sourire à sa mère ! La "grande" fille plongea son regard noisette dans celui du Duc de Rosnay comme pour savoir s'il était bien celui qu'il fallait à sa baronne de mère, même si elle savait que oui...

Enchantée votre Grasce. Ainsi vous êtes celui qui fait tourner la tête et chavirer le coeur de notre mère ? Je suis ravie de vous rencontrer enfin. Sans attendre de réponse de a part des suzerains présents, elle continua avec un sourire, pour ma part, et sans vouloir vous offenser, j'espère que vous pensez bien ce que vous dites et que ma mère n'aura pas à souffrir de nouveau. Vous devez aussi savoir que si vous épousez cette dame, il vous faudra accepter une grande... immense famille, sourit-elle.

Elle se recule d'un pas rejoignant ainsi ses frères. Son esprit vagabonda un instant vers un passé lointain et peut-être un futur plus proche.

Visiteur Nombre de messages : 3 Date d'inscription : 08/05/2012

Erunlan qui avait revêtu une tenue plus accomodé à la fête suivit son maître , il y avait nombre de nobles. Erunlan qui pourtant commençait à être habitué à voir autant de nobles se sentait toujours mal à l'aise , il collait donc presque son maître afin d'éssayer de passer inaperçu. Il aperçu Wendy et Leana puis sourit. Il se sentait soudain plus à l'aise de voir des têtes qu'ils connaissait , il demanda la permission à son maître d'aller voir Leana qu'il n'avait pas vu depuis longtemps , Le Duc Bourguignon la lui accorda et l'avertissant de bien se comportait et de ne pas faire de gaffe. L'écuyer l'ayant assuré que tout se passerait bien , s'en alla retrouver Leana. Il se faufila à travers la foule , il arriva à sa hauteur , lui tira doucement sa manche.

Lea ! Quelle joie de te revoir !! Comment vas-tu ?! Je suis content de te revoir !!

Il se jeta dans ses bras , les larmes aux yeux. Puis se ressaisissant il se présenta aux nobles présent.

Veuillez m'excuser , je suis Erunlan , écuyer du Duc Bourguignon et faucon 1 ère classe de l'ost Orléanais , honoré de faire votre connaissance.

Il s'inclina respectueusement.

Fidèle destrier Nombre de messages : 6 Date d'inscription : 11/05/2012

Lea ! Quelle joie de te revoir !! Comment vas-tu ?! Je suis content de te revoir !!

Cette voix ! Elle la reconnaissait entre mille !!!

Erun !!! Oh comme je suis contente de te voir !, elle le serre très très fort dans ses bras comme à chaque retrouvailles, et comme tu es beau dans cette tenue.... Et tu es premier faucon ? félicitations !

Toute à sa joie de le voir en bonne santé, la jeune femme en avait presque oublier l'assistance et l'importance de cet instant...

Veuillez nous excuser... Maman, votre Grasce, les garçons, je vous présente Erunlan, mon... voyons comment dire...presque frère ou fils ça dépend des moments, un sourire s'affichant sur son visage tandis qu'elle reprenait un peu de consistance serrant la main du jeune garçon dans les siennes.

Visiteur Nombre de messages : 4 Date d'inscription : 04/05/2012

Le Duc d'Orléans venait de remporter un nouveau combat contre son jeune petit cousin un chouilla éloigné, Gaël.
Alors que ce dernier le félicitait, l'Amahir se permit de poser son gant sur l'épaule du fils de la Baronne de Brou.

Jeune homme, vous serez un fin jouteur. Continuez à vous entraîner, cela paye, n'en doutez jamais, et si d'aventures vous étiez suspicieux à cet égard, je prends mon séant à témoin. Il lui a fallu bien des chutes avant de comprendre qu'il était mieux pour lui de rester planter sur une monture.

Et de rire bruyamment de sa boutade avant d'aller se faire décrasser dans l'attente d'un nouveau tour.
Une fois la sueur ôtée de son front, et sa gorge rafraîchie au vin de Champagne, Keridil d'Amahir sortit de sa tente. L'on le convoqua, et, soucieux d'honorer son hôte, il se rendit bien vite à son devant.
Là, il ne fut pas surpris de le voir demander la main de la Baronne de Brou.
Un fin sourire sur les lèvres, et la malice dans les yeux, le Duc d'Orléans se mit à faire une ronde autour du couple, d'un air inquisiteur.

Le Duc Kelso était un parti enviable, et l'épouser serait à la fois une élévation pour Valéria, mais aussi l'assurance d'une attache en Champagne pour le Duché d'Orléans. Keridil y voyait des intérêts tant pour son Duché, que pour sa famille, et que pour sa parente.
Aussi, il s'avança vers le jeune homme, qui du reste n'avait rien à envier à personne quant à son physique qui avait su charmer la virulente Baronne, et lui posa une main gantée sur l'épaule.

Votre Grâce, cher hôte. Je tiens à vous remercier pour votre accueil. Je ne me pense point naïf, et il m'a paru assez évident qu'aujourd'hui, nous serions confrontés à une annonce de fiançailles.
Je suis absolument enchanté de constater que vous êtes soucieux des coutumes et des us de notre Royaume, et que vous demandiez la main de la présente Dame à ses Suzerains.
Pour ce qui me concerne, c'est avec une grande joie et un grand honneur que je vous octroie la main de la Baronne Valeria de Valrose. Puisse-t-elle être heureuse avec vous, et...

Là, il observa la marmaille de Valrose.

...vous donner encore bien des héritiers.

Aucun doute quant à l'affaire : elle était fertile !

Je parle en Duc d'Orléans, mais je souhaite également, si Sa Seigneurie Mon Père le permet, me faire le porte parole de notre famille, et c'est aussi au titre de cousin, que j'accepte vos fiançailles.
Puissiez-vous convoler vite et heureux.

Et se tournant vers la fiancée.

Madame, mes félicitations.

Armure bourmonesque Nombre de messages : 3557 Date d'inscription : 08/06/2009

Beaucoup beaucoup trop de monde, trop de famille, trop de lien de parenté. C'est frustant de ne pas se souvenir qui était qui. Le cousin de l'un était l'oncle par alliance, qui avait eu ~~une portée~~, descendance avec la soeur du Duc. Il se gratta la tête, presqu'il se mit à rire naturellement. Puis, on l'aborde, une jeune fille ... la fille peut être ou la cousine, peut être même la nièce du grand oncle. Pas le temps d'ouvrir la bouche, qu'une autre personne saute sur la jeune fille. Surement son copain, il n'y avait pas de doute. Ou alors son frère. Enfin, ils semblaient proches. Puis finalement, la chute fut moins drole, c'était l'écuyer.

Lorsqu'une main se posa sur son épaule, il se retourna et fit face à ... un Suzerain apparement. Oui c'était confirmé, et même cousin. Parfait tout ça, tout en un. Il lui adressa donc un sourire avant d'enchainer.

Je suis ravi que cette journée vous ai plus surtout. Je ne m'attendais pas à vous recevoir tous pour être honnête. Je sais que Valerie a une grande famille, et ca me touche que vous soyiez tous, ou presque, venus.

Il inclina la tête quand il lui donna sa "permission" pour ces demandes en fiancailles. C'est qu'il ne connaissait pas spécialement les coutumes de chaque, il s'agissait la plutot d'une sorte de principe que de demander avant de rentrer dans la famille. Déja pour y être acceptée. Imaginez un repas de famille .. nombreuse, dont personne ne vous accepte.

Donner des héritiers, je l'espère. Mais je serais ravis d'avoir à mes côtés les enfants de feu le Baron.

Il manqua de rajouter une énorme bétise qui lui bouffa la langue. Heuresement pour lui, ces paroles restèrents enfouie. Il se retourna vers Val pour lui sourire et resserer sa main dans la sienne.

Remise de sa chute qui demain ne lui laissera aucun souvenir, La comtesse rejoignit sa vassale Valeria accompagnée de son blondinet. Sourire au fiancé qui pour un Franc Comtois s'était fort bien débrouiller.

Léger signe de tête aux personnes les entourant avant d'attendre que valeria fasse les présentations.

val sourit en voyant flo comme elle avait grandi un femme digne de ses parents et de sa grand mère.
Val s approcha entraînant kels .

mon coeur je te présente flory de cheroy ma suzeraine et nièce elle est aussi la jumelles de mon autre suzerain clovis de cheroy .
Flo je te présente l homme qui fait battre mo.n coeur et qi vient de demander ma main le duc kelso declervaux

val sourit et embrassa sa nièce

Elle embrassa sa tante tout en jaugeant le probable fiancé.
Belle allure, une certaine prestance, aimait il les grenouilles ? car certaines avaient privilège de se transformer en prince ou princesse. Allait elle donner son accord ou pas au mariage de sa vassale ? tel était la question qu'elle se posait.

Ainsi donc Duc, vous désirez épouser ma vassale ? Etes vous amoureux au moins ?

Regard malicieux à sa vassale et tante qui allait certainement lui faire passer un mauvais quart d'heure quand elles se retrouveraient en tête à tête.

Armure bourmonesque Nombre de messages : 3557 Date d'inscription : 08/06/2009

Il toisa du coin de l'oeil la seconde Suzeraine, enfin s'il se rappelait bien. Il n'aimait pas trop les nobles suffisants, même si cette catégorie était toujours en pleine croisance. Il haussa les épaules puis regarda Val et de nouveau la Suzeraine.

Il la salua d'un signe de tête.

Enchanté de faire votre connaissance.

Puis, les questions s'enchénèrent assez pour que le Duc se sente presque aggressé. Surement une mauvaise impression. Il ne trouva rien de mieux que de répliquer.

Non, bien sur que je ne l'aime pas. Qu'elle idée, vous l'avez vu ? J'aurai pu me trouver une belle Duchesse en Champagne et non, regardez, je me contente d'une Baronne à trois Suzerains.

Il se pencha vers elle pour lui chuchoter :

Il parait que la Baronne est riche et fertile, allons bon, joignons l'utile à l'agréable, vous ne croyez pas ?

Une touche de second degré puis il se recula pour voir sa réaction, un léger rictus sur le coin des lèvres.

Elle éclata de rire, décidément il lui plaisait ce duc, s'il alliait la plaisanterie à des jeux de mots, ils allaient ma foi fort bien s'entendre. La jeune fille préférant éviter le regard de la tantine, viendrait plus tard les explications, lui rétorqua sur le même ton.

En effet, que vaut une Baronne comparée à une belle Duchesse champenoise !! mais ....

Baissant la voix.

Vous verrez une baronne, surtout ma tantine vaut 10 fois mieux qu'une duchesse si belle soi elle. Quand à la fertilité !! permettez que je ne puis vous répondre n’étant qu'à l'aube de mes 19 printemps, cela n'est pas un sujet que j'ai abordé toutefois la baronne précisément pourras certainement m’éduquer la dessus.

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